Première partie de JDR, le 3/06/09

Voici un résumé volontairement simple et neutre (tous les PJ me semblent décrits de manière égale) de la "grosse bataille finale" de cette première moitié. Pour ceux n'ayant pas joué, les PJ devaient mener une enquête à propos d'un meurtre, et se sont retrouvés pris en embuscade...


Dans les ténèbres d’une rue, huit individus se mouvaient. Ils venaient visiblement de l’Usine, et n’étaient clairement pas de ce quartier. Parmi eux, deux hors-monde ; l’un semblait grand et émacié, il avait l’air d’un de ces mystiques que l’on rencontre parfois. Sa peau pâle trahissait son lieu de naissance, sans doute un vaisseau. L’autre était étrangement vêtu, à la manière de certains nobles, qui marquent leur statut par leurs tenues. Cependant à son allure, on voyait bien qu’il n’était pas de ceux-là, mais plutôt un homme d’honneur. Les accompagnait un ecclésiaste. Il était drapé de robes blanches, et un lourd marteau pendait à son côté. Son visage exprimait une profonde méfiance ; c’était celui d’un homme habile, fourbe et vicieux. Enfin, le reste du groupe était constitué de troupes de l’Arbites. Le leader était une femme. Sa combinaison moulante accentuait élégamment ses courbes voluptueuses, et son regard, mélange de mépris et de dédain, ne pouvait que susciter que l’envie et le désir.
Soudain, une voix retentit. C’était la voix d’un homme dur, habitué aux combats. Elle ordonna au groupe de s’arrêter, et d’expliquer leur présence. Devant la non-obéissance de ses victimes, le gang –car c’en était un– bloqua la rue ; et au passage, les huit « intrus ».
A ce moment, tout se déroula en quelques fractions de seconde. Le psyker insulta le chef du gang, par mépris, et se retrouva criblé par les balles d’une mitrailleuse lourde ; il s’écroula. Tentant une diversion, le prêtre essaya de prendre la fuite mais se retrouva stoppé par une énorme matraque à décharge qui l’envoya voler à plusieurs mètres. Il sombra dans l’inconscience. Par vengeance pour ses camarades, la jolie licteur tira une superbe décharge en direction du chef de gang, qui fut atteint à la tête et jeté en arrière. Pendant ce temps, la mitrailleuse lourde avait recommencé à faire feu. Le noble inconnu se jeta à terre, sérieusement touché à l’épaule. Mais l’Arbites situé derrière lui n’eut pas cette chance, et se retrouva littéralement déchiqueté par les balles de gros calibre. Sous ce feu nourri, le reste du groupe se jeta à terre.
La suite du combat ne fut pas moins chaotique, et seul la bénédiction de l’Empereur permit aux victimes du gang de s’en tirer vivants. Durant les premières minutes, tout semblait déjà joué, car alors que les blessés tentaient de se reconstituer, les autres essayaient de tenir l’ennemi autant à distance que possible. Mais la situation se retourna par la suite en leur faveur.
Tout commença par l’exécution du porteur de la mitrailleuse. Par vengeance ou par héroïsme, le jeune noble tira son sabre et le transperça de part en part. Malheureusement pour lui, alors qu’il poussait un cri de triomphe, le doigt de sa cible se crispa sur la gâchette, et son tueur se retrouva transpercé par toute une rafale de balles, ce qui le jeta de nouveau à terre.
A ce moment, seule la licteur était encore vivante parmi les Arbites. Ses soldats étaient tous morts, à coups de balles ou de matraques. Elle tenait donc seule face à deux adversaires, et bien qu’elle ne parvinsse pas à les blesser, elle survécut assez longtemps pour permettre à ses camarades de venir en renfort.
Le prêtre finit par se réveiller, endolori de partout. Réussissant un acte de volonté formidable, il parvint à ramper jusqu’à l’ennemi le plus proche, et lui assena un terrible coup de marteau entre les deux jambes, ce qui bien évidemment lui arracha un cri horrible et le fit rouler à terre. L’achever ne fut pas bien difficile.
Ainsi, la panique commençait à saisir le gang, qui sentait clairement le vent tourner. Rapidement, par les actes combinés du psyker –désormais rétabli grâce à ses étranges pouvoirs– et du reste des survivants, la bataille prit fin. Restait le problème du chef de gang, qui avait visiblement survécu.
Tauron –car c’était le nom du psyker– se dirigea dans sa direction, et commença à l’interroger. L’autre lui cracha à la face, en guise d’avertissement. Négligeant ce détail, le psyker dégaina son poignard, et entama ce qui ressemblait fort à de la torture. Dégainant son arme de poing, qu’il portait toujours, le gangster tenta un tir à bout portant. Heureusement pour Tauron, car sans cela il eût été mort, la mauvaise qualité de l’arme causa son enrayement, et le chargeur explosa. Le gangster fut achevé.
Peu après, des renforts arrivèrent, alertés par la licteur. Le groupe avait survécu, malgré plusieurs pertes, et serait bientôt près à reprendre sa mission.


Merci d'avoir lu, maintenant j'invite tous les joueurs qui étaient présents à raconter leur version des faits dans ce même sujet, et même les autres si ils le souhaitent !

Trés bon résumé !! Moi j'ai adoré cette partie on a bien rigolé avec la soupe ^^ C'était une super partie malgré une enquete pas évidente ...La bataille de la fin était énorme et je doit dire qu'on a eu de la chance parfois...Vivement la suite!!

va pas trop vite parce qu'il a dit qu'il nous collerait pire qu'un dreadnought so faisons gaffe parce que sinon on va finir en purée

t'inquiete pas on gereras mais moi je veux qu'il y est plus de BASTON!!

Ça, mon petit, tu vas le regretter...
J'ai déjà une idée de ce qui risque de vous tomber dessus... Et ça va faire mal...

je confirme, avec lui, ça peut faire mal, il faut s'attendre à une pluie de satellites russes défectueux !

Je suis un prêtre de l'imperium sain et pieux. Je ne crains pas ce que les ennemies de l'empereur abattront sur nous car je n'ai rien à me reprocher.

Pieux, OK. Sain... Hum, hum...
Mais tant mieux que tu ne craignes rien !

Ben j'attends que ça avec ma soupe et mon marteau !

A propos... Ta soupe commence à sentir sérieusement le moisi... Faudrait que tu en refasses...

Je m'en occupe tout de suite !